Nom : Aucun
Prénom : Ni Jû (20 en japonais)
Age : 20 ans
Grade : Hors du système des ninjas, niveau équivalent à un Anbu.
Village : Oto
Histoire :Une naissance pas comme les autres :Presque totalement artificielle, Ni Jû a été conçue par Orochimaru. Elle faisait partie d’une série d’essais d’être artificiels destinés à accueillir des attributs génétiques spécifiques aux clans les plus réputés de ce monde, ce qui aurait fait un soldat docile et puissant à son service, et de plus un corps potentiel supplémentaire. Alors qu’à l’époque il n’était pas encore obsédé par le Sharingan, il s’était intéressé au mokuton ou au Byakugan par exemple, ce fut ce dernier dont elle fut dotée. Dieu sait combien de personnes de cet illustre clan avait-il dut dépecer pour pouvoir enfin tester cette expérience.
Alors qu’il dut fuir du village, il passa en coups de vent dans la salle comportant les incubateurs pour les jeunes cobayes et dans ce véritable mouroir il put récupérer quelques-unes de ses expériences. Au milieu des autres essais ratés, un jeune garçon aux cheveux bruns, endormit dans un sommeil profond et silencieux, fut oublié.
Ni Jû eut la malchance d’avoir été plus bruyante que lui, elle n’était encore qu’un tout jeune nourrisson. Orochimaru commença alors à fonder le village d’Oto, il lui confia une nourrice pendant quelques années, jusqu’à ce qu’elle soit apte à « apprendre »…
Dès ses 6 ans, l’enfer commença alors, à moitié entrainée et à moitié martyrisée par Orochimaru à cause de ses Byakugan, inutiles et pleins de mauvais souvenir aux yeux du serpent. Autant il pouvait s’en occuper comme un bon sensei, autant il pouvait la frapper et lui faire regretter d’être vivante.
Les intentions de ce monstre, n’étaient pas seulement de s’amuser avec elle, il trouvait cela amusant mais le but final était tout autre, à la fin de son horrible traitement elle ne serait plus qu’un drone, une machine qui a pour unique but de servir son maître jusqu’à la toute fin.
Une volonté à toute épreuve :Quelques années passèrent et lassé par la gamine qui ne semblait pas convenir à ses espérances, il voulait s’en débarrasser. Mais au fond il ne voulait pas risquer de perdre un atout qui pourrait lui être précieux lorsque tout le monde l’aurait trahi.
Conformément à un rite tribal de passage à l’âge adulte sur lequel Orochimaru se basa, il alla abandonner la fillette dans un endroit des plus hostiles avec pour toute arme un seul kunai… à l’âge de dix ans seulement.
Ce fut pour elle l’épreuve la plus éprouvante qu’elle avait eut à affronter, elle en regrettait atrocement les maltraitances du serpent, jusqu’à en pleurer chaque nuit que dieu faisait.
Deux ans plus tard, il vint la où il l’avait déposé à l’époque, il attendit quelques minutes et puis commença à s’en aller.
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Tu n’aurais pas eut les épaules de toute façon.Avait-il dit en riant, pensant à ce qui pouvait l’avoir tué, mais a peine eut-il le temps de se retourner qu’elle était sous ses yeux, nue, il ne l’avait pas sentit approcher. Elle balbutia alors :
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M… m… mai… maître ?Orochimaru sourit alors, elle s’approcha pour se serrer contre lui mais il ne l’entendait pas de cette oreille. Il lui mit un sérieux revers qui l’envoya au sol. Ni Jû commença alors à se relever, se mit sur les genoux, déposa sa main sur sa petite joue et souria. Elle souriait, depuis combien de temps ça n’était plus arrivé ? La baffe du maître lui rappelait toute cette période qu’elle ne pouvait que qualifier de magnifique comparé à ce qu’elle avait vécut.
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Bien, viens avec moi maintenant, j’ai assez perdu de temps à cause de toi.La petite le suivit alors, docilement, et rentra avec son bourreau le plus volontiers du monde.
Revenus a son repaire, Le serpent la laissait presque toujours toute seule, il avait prit l’habitude de ne plus la voir et entendait bien ne pas changer ses habitudes. Quelques fois, pour attirer un peu de son attention, elle faisait exprès d’être maladroite ou de faire des erreurs pour qu’il la frappe, même cela lui réchauffait le cœur, elle savait plus que quiconque ce que c’était d’être seule, et la brutalité d’un monstre en était bien plus qu’agréable.
Comble de tout, Orochimaru, toujours dans le but partiel de s’en débarrasser, la dota du sceau de la terre à l’épaule gauche, qui était plus une malédiction qu’un don. Elle n’avait que peu de chance de survivre au pouvoir de la marque, elle en était consciente. Malgré tout ce que la vie lui avait fait subir, elle trouva le courage de survivre à nouveau à cette terrible épreuve. En fin de compte, peut-être allait-elle lui être utile finalement.
Les années passèrent encore un peu et puis la fin de son « apprentissage » toucha à sa fin. Si il avait été encore intéressé par la capacité du Byakugan, il aurait été comblé, elle avait désormais 20 ans, et était devenue une tueuse hors de paire et plus que fidèle à son maître, sa grande beauté n’avait d’égal que sa froideur et sa servilité, c’était une réussite remarquable.
Sortie de l’ombre :Lorsque le jour de sa « libération » vint, Ni Jû n’était pas vraiment rassurée, son maître lui avait donné l’ordre de s’en aller, et de rejoindre le village. Après avoir ramassé ses affaires, elle avança dans le couloir qui menait jusqu’à la l’entrée du repaire.
A peine avait-elle mit le nez dans la lumière qu’elle en fut éblouit, elle n’avait pas dut voir la lumière du jour depuis de bonnes semaines, elle leva sa main et cacha le soleil de son mieux.
Son joli visage rayonnait à la lumière, elle souriait d’à nouveau pouvoir se baigner dans sa douce chaleur, mais son plaisir ne fut que de courte durée.
Elle voulait déjà rentrer, et retourner auprès de son maître adoré, ce n’est que quant elle fit un pas en arrière qu’elle reçut un souffle de vent glacial dans le dos, la faisant toute frissonner. Elle avança à reculons dans le soleil pour échapper à cette brise et vit le village loin en contrebas.
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Je dois y aller… c’est sa volonté… je dois être obéissante…Ni Jû commença à marcher vers les portes d’Oto, sa peau très pâle à cause du temps qu’elle avait passé dans l’obscurité avait de la peine à s’accoutumer au rayon du l’astre solaire. La jeune femme prit le temps, pour la première fois de sa vie, de contempler tout ce que la nature pouvait offrir. Au fond d’elle, elle se disait que sa vie pouvait alors commencer.
Physique : Ni Jû est une jeune femme d’une grande beauté, fine et gracile, elle mesure 1m75 de haut et est dotée d’une bonne agilité, elle porte les yeux blancs caractéristiques du clan des hyûga et les cheveux blancs dût à sa conception artificielle. Cependant, ses mensurations resteront inconnues. Elle porte des vêtements légers pour essayer de plaire aux yeux de son maître. Pour toutes armes elle possède un étui à kunai sur la cuisse droite, une petite sacoche de premiers soins à la ceinture et deux petits éventails qui sont la base de son ninjutsu.
Image : Capacité spécifique : Byakugan
Caractère : effacée, obéissante
Qualité : silencieuse, douée et rapide
Défauts : naïve, froide, maladroite
Aime : Orochimaru, se faire maltraiter
N'aime pas : rester seule trop longtemps
Autre : Ni Jû connait très peu le monde et est encore à son âge, capable d’être émerveillée comme une enfant. Elle a d’ailleurs l’air toujours un peu perdue à l’extérieur du repaire du serpent, qu’elle considère comme l’unique endroit où elle a sa place.
Techniques :Ni Jû n’est pas une experte dans le ninjutsu, ni dans le genjutsu d’ailleurs, elle n’a d’ailleur aucune connaissance dans ce deuxième domaine. Le premier lui, se limite à l’utilisation du Jyuken et elle n’utilise que des techniques Fuuton pour compenser son taijutsu qui est des plus excellent, toujours en restant dans l’optique agile, rapide, mais dévastatrice du clan Hyûga.
Jyuken : Comme tous les membres du clan Hyûga, Ni Jû maîtrise le Jyuken, cependant c’est dans une forme tout à fait improvisée, car elle n’a put être au courant des techniques de ce clan uniquement par des on-dit et par les maigres questions qu’elle osait poser à son maître.
Le Jyuken étant une technique en elle-même, elle en maîtrise tous les aspects primaires, comme tout hyûga elle est capable d’atteindre les organes des personnes rien qu’en touchant la surface de la peau, elle a poussé cette capacité jusqu’à pouvoir trancher les muscles de l’adversaire. Ni Jû ne peut cependant connaître des techniques spéciales telles que le kaiten.
Fuuton : Ayant de grosses lacunes dans la maîtrise du Jyuken, son maître n’ayant rien à voir avec un hyûga, Ni Jû dut se trouver des techniques à elle pour atteindre un niveau suffisant à la bonne marche de ses missions.
-Rafales de vents : L’utilisateur se sert de ses éventails en y insufflant son chakra pour créer un souffle de vent d’un seul mouvement, la taille du mouvement définit la puissance du souffle, dont elle se sert pour repousser certaines attaques, où pour déséquilibrer ses adversaires. Il est aussi possible de voler sur une courte durée en canalisant son chakra en continu dans les éventails.
-Lames de vents : L’utilisateur envoi des lames de chakra grâces à ses éventails, ces lames sont faites uniquement de vent et son très peu facilement parables.
Marque maudite de la terre :-Rang 1 : Le chakra de l’utilisateur gonfle énormément, il en résulte une amélioration de toutes les capacités de la personne, le corps se recouvre de longs traits noirs.
-Rang 2 : Le chakra atteint un niveau terrible, la marque la recouvre alors complètement, grisant sa peau qui gagne une résistance énorme. Ses yeux deviennent noirs mais ses pupilles gardent leur blanc et ses cheveux s’allongent.